Sur les silences d’or, résonnent les mystères, D’un jardin plein de vie où le temps s’enlace. Les fleurs dessinent des ombres de lumière, Avec tendresse, chaque brin d’herbe s’enlâce.
O refrain des saisons, écho des cœurs émouvants, Faites chanter les rimes, éveillons le jour. Avec les pleurs des nues les âmes se suspendent, Au plus profond de la nature existe l’amour.
- Théodore de Banville